Six experts des Nations Unies publient une lettre au gouvernement français sur les mégabassines

Par « coordination EAU ile-de-france »

Les 6 rapporteurs de l’ONU ont voulu se pencher sur:  » les projets de stockage d’eau qui se développent en France depuis les années 90 (« méga- bassines »), l’usage excessif de la force à l’encontre de leurs opposants lors de manifestations, ainsi que la criminalisation des organisations de défense des droits humains et de l’environnement. »

Les six rapporteurs spéciaux des Nations Unies écrivent notamment :

·         « nous sommes profondément préoccupés par la poursuite du développement des projets de méga-bassines en France » ;

·         « nous soutenons que les financements liés à l’eau en agriculture doivent être massivement réorientés vers le soutien et le développement de pratiques permettant de retenir l’eau dans les sols, la protection de l’eau et l’économie des ressources en eau. » ;

·         « Nous sommes profondément préoccupés par la criminalisation des individus qui manifestent contre les méga-bassines, mais aussi des organisations de défense des droits humains qui dénoncent les projets, ainsi que les dérives de la stratégie du maintien de l’ordre. » ;

·         « Nous exprimons également de sérieuses préoccupations quant aux manquements aux obligations de protéger des manifestants et les journalistes pendant les rassemblements. ».

Suite à cette lettre, la Confédération Paysanne et le CETIM réitèrent leur appel au gouvernement français à s’engager pleinement dans la réouverture d’un dialogue inclusif et transparent sur l’usage de l’eau en agriculture et à cesser la criminalisation des mouvements sociaux. Pour se faire, un moratoire sur les projets de construction de méga-bassines est indispensable.

La lettre complète est ici:   https://spcommreports.ohchr.org/TMResultsBase/DownLoadPublicCommunicationFile?gId=28077

Un rappel ci dessous de la manifestation actuelle à suivre:  le « convoi de l’eau »  Sainte Soline- Orléans-Paris

L’EAU DES RIVIÈRES EST-ELLE PERDUE EN S’ÉCOULANT DANS LA MER ?

L’eau des rivières qui se déverse dans la mer est-elle perdue pour la collectivité et peut-on donc la stocker ?

Les tenants des mégabassines, et notamment la FNSEA, ont tendance depuis quelques temps à parler des importants volumes d’eau qui viennent se perdre dans la mer, pour justifier ces grosses retenues.

Ci dessous un article de Florence Habets, Directrice de recherche CNRS en hydrométéorologie, professeure à l’École normale supérieure (ENS), article paru dans « Bon pote »

Analyse : peut-on stocker les excès d’eau perdus à la mer ?

Quelques extraits:   Dire que ces prélèvements d’eau d’eau douce seraient sans incidence, « cela néglige de multiples rétroactions, tant chimiques, physiques, que biologiques et écologiques. »

« les rivières apportent à la mer de l’eau, des sédiments, et de nombreux autres composants chimiques et minéraux qui sont importants pour la biodiversité des écosystèmes marins et estuaires. »

« A cela s’ajoute bien sûr l’apport des eaux douces aux estuaires, zones de rencontres entre l’eau de mer et l’eau des rivières. Les eaux des rivières en crues sont nécessaires pour évacuer le bouchon vaseux, la diminution de ces crues perturbe l’estuaire de la Gironde et la ville de  Bordeaux. Cette année, les faibles débits de la Loire ont mis en danger  l’alimentation en eau potable de Nantes »

Et enfin:    « Alors que l’eau est un milieu de vie, un vecteur de transport pour tous les éléments érodés et lixiviés, nutriments et sédiments, nécessaires à d’autres milieux, on a tendance à ne considérer l’eau que comme une ressource, c’est-à-dire, un élément naturel à exploiter, réduisant ainsi la question politique de l’eau à une question d’efficacité technique.  »

L’article:         Peut-on stocker les excès d’eau perdus à la mer

DÉBUT DE NOTRE NOUVELLE EXPOSITION

Les premiers panneaux de notre exposition sur l’eau sont sortis. Merci aux réalisateurs qui ont réussi à construire des panneaux attrayants par la mise en page, les couleurs, les illustrations.

Une dizaine de thèmes sont encore à traiter. Nous envisageons de proposer notre exposition dans les mairies, lycées, collèges, médiathèques, ou pour des évènements, manifestations …

LE PLAN EAU DE MACRON Mars 2023

E. MACRON A DÉFINI UN PLAN EAU EN 53 MESURES

Fin mars 2023

https://www.ecologie.gouv.fr/plan-action-gestion-resiliente-et-concertee-eau

« C’est un document sans calendrier, sans budget et sans territoire, alors que la France compte douze bassins hydrographiques aux problématiques très diversifiées » souligne A.Gatet de France Nature Environnement.   « C’est un plan de com’ qui réinvente la poudre, poursuit cette fédération d’associations environnementales. Le problème, aujourd’hui, ce n’est pas un manque d’outils ou de lois ou de mesures. Le problème, c’est que les solutions ne sont pas mises en place, que les dérives ne sont pas sanctionnées et que le coeur du problème, systémique, c’est la non-remise en question du modèle dominant de l’agriculture conventionnelle. »

« Les questions majeures concernent la gouvernance, le statut de l’eau, l’application des principes fondamentaux (charte de l’environnement, article L110 du code de l’environnement), dont la participation, mais aussi la gestion équilibrée avec ses priorités et la répartition des usages, les pollutions et l’application du principe pollueur/payeur ou la justice fiscale dans le domaine de l’eau restent pendantes, l’essentiel est pourtant là !  »  Bernard Drobenko professeur émérite des Universités, droit public,  Côte d’Opale.

SOBRIÉTÉ            « Les ambitions fixées lors des Assises de 2019 sont étonnamment revues à la baisse : 10% d’économies d’ici 2030 Alors que les objectifs fixés en 2019 étaient de -10% en 2024 et de -25 % en 2035″.  (FNE)    –      Il a à peine abordé le secteur agricole, pourtant premier consommateur d’eau : « On ne sent pas l’ambition d’une moindre utilisation de l’eau en agriculture »  ( La Confédération Paysanne).     –     « Autre domaine non évoqué, mais particulièrement sensible au regard des économies d’eau et de leur partage, les eaux commercialisées. Les prélèvements sont en augmentation, parfois au détriment des usages locaux ».  (Coordination Eau)                              « la seule réponse véritablement durable pour permettre à chacun de disposer d’une eau potable accessible est d’éviter de polluer la ressource elle-même ». ( Ch. Lime France Eau Publique )

RÉUTILISER LES EAUX USÉES      Passer de 1% à 10% en 2030.   Thierry Uso membre d’Eau secours 34,  demeure très sceptique quant à l’intérêt de cette technique.  « Environ deux tiers des projets ne sont pas viables économiquement, estime-t-il. Il faut bien souvent des kilomètres de tuyaux pour apporter l’eau des stations vers les parcelles agricoles, avec de la pression, donc de l’énergie. Et puis, les eaux usées sont généralement trop salées par nos urines pour les cultures et demandent donc un traitement supplémentaire, qui peut être coûteux. »

GESTION QUALITATIVE   Au cours du congrès de la FNSEA du même jour, le Ministre en charge de l’agriculture annonce qu’il demande à l’ANSES (organisme indépendant) de revoir son évaluation de la décision d’interdiction du S-métolachlore, produite en janvier2023. !

« La première urgence serait la réforme des redevances conduisant à l’application du principe utilisateur/payeur en application du principe pollueur/payeur tel qu’exigé par la DCE (art. 9) avec la définition claire des trois catégories d’usagers (le secteur industriel, le secteur des ménages et le secteur agricole). La justice fiscale impose de revoir la mise en œuvre des redevances « prélèvements » et « rejets » (pollutions), sachant que la Cour des comptes souligne depuis de nombreux années l’injustice caractérisée puisque dans son rapport annuel de 2015 elle rappelle ces déséquilibres majeurs : les redevances sont acquittées à 88 % par les ménages, 8 % par les industriels et 4 % par les agriculteurs ».    B.Drobenko

AGRICULTURE             France Nature Environnement se félicite de la reconnaissance par le chef de l’Etat de la nécessité de « réinventer les modèles agricoles », et « faire évoluer les logiques de stockage de l’eau ». France Nature Environnement se réjouit également du fait que le chef de l’Etat reprenne le discours que nous portons depuis des décennies sur ce sujet : la solution c’est d’abord le stockage naturel dans les sols, puis les stockages existants.  Ces affirmations nécessitent de revoir en profondeur le modèle agricole soutenu actuellement par la France.        FNE                                  Mais:  » L’agriculture industrielle et ses pratiques, une remise en cause ? Que nenni ! C’est un soutien continu, confirmé d’ailleurs concomitamment au congrès de la FNSEA du même jour par le Ministre de l’agriculture qui précise qu’ « on ne redemande pas un effort supplémentaire aux agriculteurs », et même « l’agriculture n’aura pas à baisser ses prélèvements pour irriguer les cultures », les prélèvements se poursuivront « à niveau constant ». Bernard Drobenko

BIODIVERSITÉ       «  Les Solutions Fondées sur la Nature et en particulier la préservation et la restauration des zones humides restent des parents pauvres de la planification écologique de l’eau. Redonner la capacité aux sols de mieux retenir, infiltrer et purifier l’eau devrait pourtant être le cœur du sujet et de la stratégie à déployer ».  FNE                       « L’eau est aussi une ressource et des écosystèmes à protéger. Or les milieux aquatiques — rivières, nappes, lacs — semblent être les grands oubliés du « plan Eau ». Ils auraient pourtant grand besoin d’un coup de pouce. Polluées, canalisées ou artificialisées, très peu de masses d’eau naturelles sont aujourd’hui en bon état. »            REPORTERRE

UNE VISION TECHNOLOGISTE DE L’EAU
« Compteur intelligent, optimisation de la ressource, application             « EcoWatt » de l’eau, innovation de rupture, le « plan eau » est truffé d’une novlangue technologiste qui dessine finalement la vision macroniste de la gestion de l’eau : irriguer plus avec moins d’eau grâce à l’innovation, refroidir les centrales nucléaires en circuit fermé, gérer les sécheresses estivales grâce à la construction de
mégabassines, ou encore recycler et réutiliser les eaux usées pour irriguer les champs ou arroser les jardins. »   MÉDIAPART                              « Derrière, il y a cette idée que l’on peut dompter l’eau, dénonce Antoine Gatet, vice-président de France Nature Environnement. C’est une mal-adaptation à la modification en profondeur des milieux aquatiques et des équilibres écologiques. L’objectif, au contraire, c’est la reconquête de la nature et de la capacité de l’eau à se gérer toute seule. »

Plan eau E. Macron  FNE

Plan eau E.Macron    Coordination eau Robert Drobenko

Plan eau E.Macron   Reporterre

plan eau E.Macron    Médiapart

Les PESTICIDES et leurs MÉTABOLITES dans L’EAU

Ces derniers temps, les métabolites du Métolachlore puis du Chlorothalonil  trouvés dans les eaux, ont beaucoup fait parler d’eux, suite à la diffusion de rapports de l’ANSES, l’agence nationale de sécurité sanitaire.  Il est même possible que dans l’avenir, d’autres métabolites potentiellement dangereux soient découverts avec l’évolution des techniques d’analyse.

Les métabolites sont les produits de dégradation du pesticide initial.

Notre modèle agricole est en cause, les lobbies sont à l’oeuvre pour minimiser les conséquences, et la question du traitement des eaux peut se poser. Ci dessous quelques articles parus récemment.

La Coordination eau, après la protection des captages, l’accompagnement des agriculteurs, et la question des normes, insiste sur les inconvénients d’un traitement possible par l’osmose inverse basse pression (une filtration très fine de l’eau mais qui aboutit au rejet des polluants en aval dans un cours d’eau, et est très énergivore).

pesticides coordination eau 

Générations Futures réagit face au lobbying de la FNSEA et aux décisions de notre ministre de l’agriculture.

pesticides générations futures

La Confédération Paysanne souligne aussi « l’irresponsabilité du gouvernement ». « L’urgence est à la transition agroécologique et au changement de modèle ».

pesticides conf

Un long article du journal Le Monde étudie de manière détaillée les différents aspects de ce problème.

pesticides Le Monde

 

 

NOTRE EAU À L’AGGLO DE LENS-LIÉVIN

NB: Pour diverses raisons dont le refus du conseil communautaire de la CALL d’associer eau…secours 62 à ses réflexions , l’activité de l’association sur le secteur a été réduite pendant plusieurs années. Grâce à nos partenaires, nous avons pu cependant avoir des informations et transmettre nos remarques auprès des élus notamment ceux présents à la CCSPL ( commission consultative des services publics locaux ) .

En 2024 nous espérons pouvoir être plus actifs sur le secteur .  Les adhérents intéressés peuvent contacter le collège solidaire  pour cela.

Nous avons pu analyser les rapports annuels du délégataire véolia pour l’année 2022 ( derniers rapports produits) . Nous en mettrons quelques points d’analyse d’ici peu .

Nos conclusions sont proches de celles relatives aux rapports 2021 .( voir ci-après).

Des rapports annuels de gestion pour l’année 2021 de Véolia (rapports annuels du délégataire) et de la Communauté d’Agglo (rapports sur le prix et la qualité du service de l’eau) ,

Nous avons cru bon de tirer quelques informations qui nous paraissent importantes.

C’est le Mardi 13 septembre 2022 que s’est tenue la réunion annuelle obligatoire, qui est peu connue, de la Commission Consultative des Services Publics Locaux (CCSPL) de l’Agglo de Lens Liévin, qui concerne la gestion de l’eau sur notre territoire pour l’année écoulée 2021. Les rapports annuels (de 2021) de Véolia sont fournis à cette occasion, ainsi que le Rapport sur le Prix et la Qualité du Service de l’eau par le président de la CALL.

Vous savez sans doute que la CALL a signé 3 contrats avec Véolia: pour la production d’eau – la distribution de l’eau – et pour l’assainissement. Et vous savez que le financement de la gestion ne provient que de nos factures d’eau.

* Les 3 bénéfices bruts pour Véolia des 3 contrats sont très élevés; ils se montent à 4,9 Millionsau total pour l’année 2021 (tirés bien sûr de nos factures).

* Les marges bénéficiaires sont dignes d’intérêt: respectivement 20%, 11,8% et 20% !!! pour Production, Distribution et Assainissement. Ce sont sans doute parmi les meilleurs contrats pour Véolia puisque l’Agglo n’a jamais eu l’habitude de s’y intéresser (nous avons eu l’occasion d’interroger l’Agglo plusieurs fois à ce sujet).

* Les frais de siège de Véolia (“contribution aux services centraux et recherche”), impossibles à quantifier précisément et donc à vérifier, sont également élevés: 1,4 Million en tout. Une somme donc assez opaque prélevée aussi de nos factures.

* Le prix de l’eau :

Le montant de l’abonnement par Véolia (eau + assainissement) est très élevé = 70 euros TTC/an – Il défavorise les petits consommateurs. Le prix au m3 de l’eau est donné pour 120 m3 annuels. Mais pour les petits consommateurs (moins de 120 m3), il est + élevé avec cet abonnement important. (nous militons pour un abonnement très faible ou inexistant).

* Nouveau cette année pour la qualité de l’eau, la prise en compte (au niveau européen) de quelques métabolites nocifs (“pertinents”) de pesticides (ces métabolites sont des produits de dégradation de pesticides). Pour l’instant rien d’alarmant (apparemment) mais il ne faudrait pas que les solutions soient uniquement curatives (Véolia essaierait de placer son procédé de filtration par osmose inverse basse pression (OIBP), car la technologie est très rentable). La prévention vient du type d’agriculture.

* Le taux de renouvellement du réseau d’eau potable est de 0,34%. Il faudrait donc 300 années pour le renouvellement complet, alors que la durée de vie moyenne des matériaux n’atteint pas 100 années.

* Apparemment il y aurait des objectifs importants concernant l’assainissement qui seront peut être l’objet de précisions:

– Gestion des eaux pluviales: y a-t-il un objectif de diminution du réseau unitaire (eaux usées + eaux de pluie) afin de favoriser la recharge des nappes et désencombrer les stations d’épuration ou STEP? Il s’agit ici d’infiltrer au maximum les eaux pluviales plutôt que de les envoyer dans le réseau des eaux usées.

– Il est prévu 2 unités de réutilisation des eaux usées: est ce à partir des STEP ? et pour quels usages ?

Voilà ce que nous voulions souligner.

Les remarques ou questions sur ce sujet sont les bienvenues.

Nous possédons les différents rapports que nous pouvons éventuellement faire parvenir. Notamment les comptes annuels résultats d’exploitation de Véolia. S’il y a encore autour de vous des questions concernant les factures d’eau, n’hésitez pas non plus.      Ce message peut être divulgué.

Le collège local d’eau secours 62

Les « Journées de l’eau « 

Ces  » Journées de l’eau » sont l’occasion pour les « militants-adhérents » de renforcer leur connaissance des diverses problématiques relatives à l’eau , d’affuter leurs argumentaires pour réclamer une gestion publique, non opaque .

Elles sont aussi propices à dynamiser nos actions et à rencontrer les citoyens, à se mettre à leur écoute, voire à les renseigner et les former. C’est pourquoi le renouvellement d’initiatives dans leur direction est souhaitable. Chacune et chacun peut en faire la proposition pour son secteur , sa commune.

Nous n’avons pas pu continuer d’organiser ces journées après 2016. Seules des manifestations isolées ont vu le jour jusqu’à l’apparition de l’épidémie de covid .

 

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Encore des retours: Bordeaux, Epernay et Corbeil Essonne

* Après Lyon, c’est une autre grande agglomération qui a fait le choix du retour en régie publique : Il s’agit de Bordeaux Métropole qui va prendre concrètement en main la gestion de l’eau potable à partir du 1er janvier 2023.

* Depuis le 1er janvier 2022, la gestion de l’eau potable est désormais assurée en régie publique par Epernay agglomération. Après plus d’un siècle de gestion privée, assurée par la Société des eaux, devenue ensuite Veolia, l’intercommunalité a décidé de reprendre la main sur la gestion du service, l’entretien et l’exploitation du patrimoine de production, de distribution, la facturation, la relation avec les abonnés ou encore le déploiement des compteurs.

http://www.lhebdoduvendredi.com/article/42165/la-gestion-de-leau-potable-devient-publique

  A noter qu’Epernay agglomération fait 48 000 h;  à comparer avec la Communauté d’Agglomération d’Hénin Carvin de 126 000 h,  dont l’expertise estime que « le territoire est trop petit pour assumer une gestion en régie » la VDN.

 

* La ville de Corbeil Essonne est passée en régie publique ce 1er janvier 2022 et rejoint la régie de Grand Paris Sud.

https://eau-iledefrance.fr/corbeil-essonnes-en-regie-publique-depuis-le-1er-janvier-2022/

nos réunions

Janvier 2023

En raison des conditions sanitaires, les réunions en présentiel des adhérents de notre association et de ses antennes ont cessé ou se sont fortement réduites. C’est  par le moyen des contacts internet que les liens se sont fait essentiellement . La reprise des échanges en direct est une satisfaction et nous espérons qu’elle puisse redevenir la pratique courante.